Bonjour à tous, lecteur habituel ou nouveau lecteur…

Même si je ne suis pas le réalisateur du site de la paroisse, je m’en sens un peu responsable puisque c’est moi qui avais sollicité en son temps un de nos amis paroissiens, spécialiste de la chose, pour sa conception. Or, je m’aperçois que nous n’avons pas mis en ligne un nouvel Edito depuis janvier… Certes, nous comptions sur notre prêtre, plus aguerri à ce genre d’exercice, pour écrire périodiquement, de nouveaux Editos, mais, hélas, ses responsabilités ne lui permettent pas d’être aussi disponible que nous le souhaiterions, et de plus, des travaux de mise en sécurité indispensable dans le presbytère de ST GERMAIN, l’ont obligé à un déménagement, ce  qui n’arrange rien ! Face à ce constat, l’évangile de ce 16ème dimanche du temps ordinaire m’incite à  « prendre  la  plume ».

Sommes-nous des brebis  sans berger, ou appelées à le devenir ? En tout cas, cela a été dit explicitement ce matin à la messe dominicale : c’est la période estivale, et tout un chacun peut prétendre à un temps de repos, y compris nos prêtres. En effet, le Père Honoré BOUDI, originaire de Madagascar, sera absent pendant 2 mois pour un voyage dans son pays ; il a bien sûr organisé au mieux son absence en demandant à plusieurs confrères d’assurer les messes du dimanche et aussi les évènements particuliers, tels que mariage et baptêmes. Pour l’imprévisible – je pense  bien sûr aux obsèques – quelques laïcs de la paroisse se sont engagés à faire au mieux pour accompagner les familles dans la peine. Mais il faut que chaque paroissien se sente responsable de la vie de la paroisse et apporte son concours, si modeste soit-il pour, comme les apôtres de l’évangile d’aujourd’hui, Dieu, alors, nous invitera aussi à prendre un peu de repos ! Mais en attendant,  ne baissons pas les bras et mettons-nous à l’œuvre.  Les prêtres, – les bergers – sont de moins en moins nombreux, ainsi, Cuisery n’a plus de curé, demain, cela peut-aussi arriver à la paroisse ST JEAN XXIII, alors, ne baissons pas les bras, mais au contraire, relevons nos manches pour continuer d’annoncer la bonne nouvelle malgré les vents contraires qui soufflent de toute part.

Nous comptons sur votre engagement. Bon courage et bonnes vacances malgré tout.

 

Marie-Thérèse PERNEY